La Famille MICHON pendant la première guerre mondiale
1886
Pierre Jean MICHON et Marie Pauline DURAND ont 6 enfants :
Joseph, Alexandre, Ferdinand, Eugène, Paul et Marie
Pierre MICHON est le père de mon arrière-grand-père (Joseph Alexandre)
Voici leur Histoire chronologiquement, avant, pendant et après la 1ere Guerre Mondiale.
Eric MICHON
François MICHON est né le 18 février 1869 à Montrevel, hameau de Vaux (comme son père et ses frères) mais n'a survécu que 20 jours.
1886 environ, la famille MICHON déménage de Montrevel
(Les MICHON étaient installés à Vaux depuis 1575) pour habiter Le Grand Chemin à IZEAUX.
Mai 1888, naissance de Léon, le dernier né de la famille mais il décède à l'âge de 4 mois le 26 septembre.
10 Novembre : Joseph Alexandre MICHON arrive à 21 ans, au Corps du 2e Régiment d'Artillerie basé à GRENOBLE. 1er Avril 1891 : Passe au 6e Régiment d'Artillerie de Campagne, caserne Charanton à VALENCE, puis le 24 Septembre 1891, il est renvoyé dans son foyer à Izeaux.
Le 12 Novembre 1891, c'est son frère Paul J. MICHON qui part à 21 ans pour le 97e Régiment d'Infanterie de ligne à CHAMBÉRY, et rentrera le 3 Octobre 1892.
Le 2 Février 1893, leur mère Pauline DURAND, décède à 5 h du matin à 49 ans.
Du 9 Octobre au 5 Novembre : Joseph A. part en période d'exercices au 6e Régiment d'Artillerie de Campagne, caserne Charanton à Valence.
Joseph A. MICHON se marie avec Maria J. V. CHAMBARD, fille de Marchand-entrepositaire de Bières au hameau des Berthamieux d'IZEAUX.
1894 Tout le monde déménage à LA FRETTE
Le 31 juillet 1894 Joseph devient patron de la Ferme des Brosses. Son père et ses frères habitent plus haut, dans les dépendance du Château de La Villardière (image à droite) dont M. Armand de La Villardière, est Maire depuis 1884
Ferme des Brosses : Une fille nait en 1898 : Joséphine Marie Eugénie MICHON
Du 6 Mars au 3 Avril 1899 : Joseph A. repart en période d'exercices au 6e Régiment d'Artillerie de Campagne, à VALENCE
16 Mars 1899, Alexandre(21 ans) part au 4e Régiment de Dragons de CHAMBERY. Mais le 2 Mai 1902, Alexandre décède à l'Hopital militaire de Chambéry.
Du 7 au 20 Octobre 1903 : Joseph A. part en exercices au 2e R.A. de GRENOBLE
14 Septembre 1904, Ferdinand son frère arrive au 22e Régiment d'infanterie de Bourgoin libéré le 23 septembre 1905 car frère mort au service (Alexandre).
Ferme des Brosses : Naissance de Joseph en 1905. En 1906, on y recense un ouvrier commis : Louis CHABOUD (15 ans). (image droite La Frette en 1906)
Eugène MICHON, (frère de Joseph) part faire son service le 7 octobre 1907 au 2e RAC de Grenoble. Il se mariera le 9 Avril 1911 avec Marie ORJOLLET.
1914 MOBILISATION
Eugène (28 ans) part le 3 Août 1914 avec le 222e Régiment d'artillerie dans les Vosges puis l'Alsace. Le 1er juillet 1918, il passe au 211e Régiment d'Artillerie de campagne de Lyon et repart comme voiturier pour Bar Le Duc et la Forêt d'Argonne. Il ne rentrera que le 23 mars 1919 à La Frette pour devenir poseur à la Compagnie des Tramways Ouest du Dauphiné.
12 Août 1914, Ferdinand (32 ans, cultivateur chez son père) part en campagne contre l'Allemagne mais il est blessé le 25 Septembre 1914 à la bataille de Foucaucourt (Somme) en reprenant le village occupé par les Allemands : "Amputation de la phalangette de l'index gauche par balle".
Il sera réformé temporairement le 21 Avril 1915 : "Amputation complète de l'index gauche. Hemoptysie suite accident tétanique."
Rappelé le 12 Mai 1916 à la 14e Section des Infirmiers Militaires (SIM) de Lyon mais renvoyé le 4 Décembre 1916 à La Frette pour " gêne fonctionnelle d'environ 10 %".
14 Novembre 1914 : Joseph (47 ans) part à son tour pour la Campagne contre l'Allemagne. Arrivée dans l'Aisne sur le front à SERCHES sur le plateau de la ferme du Pavillon
Janvier 1915 : Participation à l'attaque de la Côte 132 vers CROUY puis subit contre-attaque allemande dès le 12, 13 janvier. Le 2e RAC reste seul pour tenir la Ferme du Pavillon.
Joseph A. est libéré le 1er mai 1915.
Le 19 Avril 1915 Paul (44 ans) est convoqué à Bourgoin au 106e Régiment d'infanterie de Bourgoin mais le 10 Mai, il est renvoyé à La Frette par la commission de réforme au motif : "varices volumineuses à la jambe droite".
Pierre Jean MICHON décède en 1915 à 78 ans.
Joséphine, la fille de Joseph A. se marie avec Louis CHABOUD, le 21 Novembre 1919, à La Frette.
Joseph se marie en 1926 avec Victorine JALLUT de GILLONNAY et iront habiter le Pavé à LA FRETTE
Ferdinand serait décédé en 1928 ??*
Joseph A. décède en 1930 à LA FRETTE.
Mon grand-père, Joseph aura 12 enfants dont 6 garçons (André, René, Robert, Claude, Noël, Alain) et 6 filles (Yvonne, Hélène, Madeleine, Christiane, Michelle et Paulette).
Paul décèdera en 1933
Eugène aura 3 filles et un garçon et décédera en 1954.
Marie aura 2 filles et un garçon et décèdera en janvier 1960
Le Grand père de MICHELLE : Louis Gabriel Paulin BOIS
Louis G.P. BOIS est ouvrier agricole chez son oncle Louis GABERT au Bayard à Réaumont (38140).
1er Octobre 1910, intégration au 30e régiment d'infanterie ANNECY pour 2 ans de service militaire > 2e classe
25 Septembre 1912 retour à Réaumont avec certificat de bonne conduite
1914 MOBILISATION
3 Août 1914 : Retour à la Caserne du 30e régiment d'infanterie ANNECY > 30 Aout
31 Aout 1914 : Départ pour le front avec le 6e Régiment d'Infanterie de la Coloniale Contrairement aux autres RI, le recrutement était très mélangé pour le 6e RIC : La Loire, l'Isère, la Haute-Savoie, le Finistère, le Morbihan, la Meurthe-et- Moselle
A SAINT BENOIT LA CHIPOTTE (Vosges) Les allemands débouchent en nombre de Meurthe & Moselle. Le lieutenant-colonel BORDEAUX ne dispose à ce moment-là que d'un détachement de 1100 réservistes à peine encadrés et arrivés le matin même de Lyon. Devant l'imminence du péril, ils sont lancés en avant, et malgré la fatigue causée par le voyage, réussissent à refouler l'ennemi et à le ramener à ses positions de départ.
Bataille du Col de la Chipotte. Les pertes françaises dépassent les 4000 tués. Les pertes allemandes sont sensiblement supérieures. Au regard des effectifs engagés, et sur une durée d'une dizaine de jours, le nombre des tués est très important, plus de 4 % et les pertes totales de l'ordre dépassent 16 %
Entre le 26 Août et le 11 Septembre 1914 de nombreux combats eurent lieu autour de Jeanménil.
Le 5e RIC est à bout de forces, sans sommeil, sans vivre, sans repos depuis le 9 août 1914. Après une violente attaque allemande, le régiment se replia sur Larifontaine et au Haut de Chênes les 3 et 4 septembre : 97 hommes hors combat.
Combat à la baïonnette sur les allemands par le 6e régiment d'infanterie coloniale.
Louis G.P. BOIS est nommé Caporal le 3 Octobre 1914
Le 9 Octobre, le bataillon du RIC Bontemps et le bataillon Durand fût assailli à l'est de Jeanménil par une grêle d'obus : 37 hommes hors combats. Le 10 et 11 septembre, les bataillons chassèrent l'ennemi par un feu assez vif et à la baïonnette puis se déplacèrent vers Bertrichamps. 37 hommes enterrés sur place dans l'attente d'être déplacés vers le cimetière de La Chipotte.
Bataille Apremont et Loupmont et Janvier 1915 Bataille sur Argonne
Juin 1915 Attaque des tranchées du « Fer-à-Cheval »
30 Juin 1915 Louis G.P. BOIS est évacué de LACHALADE (Meuse) pour une hernie inguinale gauche au DLD de LAROY jusqu'au 30 Aout
31 Aout 1915 Transfert à Hôpital de Rivery (SOMME) banlieue d'Amiens 10 Décembre 1915 Convalescences
12 Janvier 1916 : Retour au 6e Régiment d'Infanterie de la Coloniale dans l'Oise puis passe dans le 56e régiment d'Infanterie Coloniale
Le 23 Février 1916, Le croiseur auxiliaire Provence II quitte Toulon avec un contingent de 2000 militaires du 3e RIC
26 Février 1916 Louis G.P. BOIS passe dans le 56 régiment d'Infanterie coloniale et embarque à Toulon pour les Dardanelles. Le même jour à 15 H au large du Cap de Matapan (Grèce), le Provence II est touchée à tribord par une torpille du sous-marin allemand UC38. 17 mn après Provence II coule. Seuls 870 soldats ont la vie sauve.
1er mars 1916 Arrivée à SALONIQUE
Jusqu'au 10 août, la tâche du corps expéditionnaire consiste à s'organiser, faire des routes, créer des centres d'approvisionnement, préparer le front futur, qu'il faudra, avec des forces limitées et un ravitaillement difficile, rendre cependant inébranlable à tout moment contre les attaques en masses dont les Allemands sont coutumiers. Il faudra monter la faction en face des lignes Bulgares et en même temps surveiller les ennemis de l'intérieur qui intriguent, conspirent et cherchent à nous causer mille embûches. Le 56e est occupé à la construction de la route Salonique à SERRES, travaux pénibles et malsains et qu'il faut activer fiévreusement en plein foyer de paludisme.
Du 18 au 22 juin. A la suite des troubles d'Athènes, il est rappelé d'urgence à Salonique et embarqué à destination du Pirée, puis après deux jours de stationnement sur rade, il est renvoyé sur la rive droite de la Struma.
10 Aout, offensive bulgare, le 56e est envoyé en première ligne dans la région de Dobrovika.
Du 17 au 20 août, sanglante contre-offensive française au cours de laquelle le village de Dolzeli est pris et repris trois fois à l'arme blanche. A la suite de cette pénible affaire il est renvoyé à l'arrière, reconstitué par des renforts venus de France, puis envoyé dans la région d'Ostrovo,(Vegoritida) où il reste jusqu'en octobre.
A Réaumont décès de sa tante GABERT et de son oncle Joseph BOIS
le 21 octobre en 1er de ligne dans la région de Brod (ravin de Kremia). Le 14 novembre, il participe à la sanglante attaque de Kenali aussi coûteuse pour lui que celle de Dolzeli. Puis pendant toute la durée de l'hiver 1916-1917 il continue, dans la région de Monastir (BITOLA) en Macédoine, à alterner avec d'autres régiments, repos, garde des tranchées de première ligne, reconnaissances, réfection de route.
YPECH 9 Mai 1917 : Dans les tranchées du SAN et du Rocher François-Joseph, après 3 attaques le même jour, le 56e RIC perd 1500 hommes.
12 Novembre 1918 base d'Orient région de MONASTIR jusqu'en décembre
22 Décembre 1918 > En Mer direction France et arrivée en France, le 3 Janvier 1919.
31 mai 1919 : Mariage avec Emma BLANCHET à Réaumont. Ils auront 7 garçons (2 décédés en bas âge) et 2 filles.
Louis G.P. BOIS décèdera le 14 septembre 1956
Du côté de ma Grand-mère VICTORINE JALLUT
Voici la généalogie de ma grand-mère ; Victorine JALLUT
A télécharger ici :
http://www.aht.li/2676874/HISTOIRE_DE_FAMILLE_JALLUT.pdf
Livre sur l'Histoire de la famille MICHON
Eh bien voilà, pour mes 50 ans, j'ai accompli un souhait, celui d'avoir pu écrire l'histoire de ma famille
Alors ce n'est pas non plus le roman de l'année... Mais ce sont 30 pages qui ont demandé beaucoup de temps
et de passion pour le passé.
Voici donc la première partie sur les MICHON (Cliquer sur le lien)
http://www.aht.li/2670693/Histoire_des_Michon.pdf
La famile JALLUT de GILLONNAY
Antoine JALLUT né vers 1630 environ se marie à Gillonnay avec Françoise EMPTOZ. Leur fils Antoine se marie à sont tour le 30 Juin 1683 à Longechenal avec Marie SERLIN. De cette union naitra Grégoire JALLUT qui se mariera egalement à Longechenal avec Anne MATHIAN le 11 Juin 1720.
Michel JALLUT, s’unira le 3 Juillet 1770 avec Elisabeth JANON
De leur union nait en octobre 1776 Antoine JALLUT à Gillonnay, qui épouse à Saint Pierre de Bressieux, Françoise ROLLAND de deux ans son ainée, elle est ménagère.
Ils auront 2 garçons et 2 filles :Guillaume né en 1807, Pauline née le 18 sept 1809-1866 se mariera à Pierre BROSSE, Claude qui épousera Marie LEVET TRAFIT et Antoine JALLUT.
Antoine est né le 9 juin 1812 à Gillonnay. Il sera cultivateur à Notre-Dame et épousera le 30 juin 1834,
Marthe BARRAL qui a 20 ans et qui a déjà perdu ses parents. Ses deux parents étant décédés, elle est assistée de son frère Jean Antoine BARRAL, qui est également tuteur suite à l'accord du Juge de Paix Maître COCHET de St-Etienne de St-Geoirs, après le Conseil de Famille le 16/06/1834.
Marthe qui se fait appelée Maria est domestique au Mas de Chèvre Noire chez le sieur CHEVALIER. Peut être quelqu’un de sa famille car sa mère s’appelle Louise CHEVALIER.
Marthe (ou Maria selon les actes) et Antoine auront deux garçons
Joseph et François
François JALLUT est né à Gillonnay le 28/10/1858. A 29 ans il se mariera avec sa cousine Marie Félicie JALLUT (fille de Claude JALLUT et Marie LEVET-TRAFIT ) à Sillans le 9 Juillet 1887. ils auront pour enfants :
François né en 1888, Henri né en 1889, Louis en 1895, et
Marie-Louise née le 14/9/1896 épousera Antonin ROBIN à Gillonnay. Ils auront 9 enfants dont Marie ROBIN l'aînée née en 1920 maman de Maurice Emptoz !!
Joseph JALLUT est né le 25 Septembre 1848 à Gillonnay, il épousera Louise FRANCOIS née en 1844 (d’elle je n’ai pas encore pu découvrir les antécédents)
Voici leurs enfants :
Joseph Claude JALLUT né en 1868
Paul JALLUT né le 4 avril 1874-1982 Marié en juillet 1899, à Saint-Hilaire de la Côte avec Rosalie BRUN PAJOT
dont Rosalie 1900-1962 qui epousera Joseph BOUGET LAVIGNE ; Joseph 1901-1971 et Paul Auguste 1908-1980 et François JALLUT 1877-1955
François JALLUT épouse Eugénie Baptistine GROS née le 15 Juillet 1885 à Gillonnay
La dernière journée de 1904, soit le 31 décembre 1904. Voilà un bon réveillon à fêter !!
En 1907 ma grand-mère Victorine JALLUT nait à GILLONNAY
elle aura 7 frères et 6 sœurs !!!
Les 7 frères de Victorine
- Emile JALLUT né le 25 mai 1921
il habitera Gillonnay et se marie avec Marie-Louise JACQUIER LAFORGE 1926-2014
Petit, mon père me fera monter sur le cheval d’Emile en train de labourer la terre. Gamin je rendais souvent visite et saluer le tonton Mimile et la Zizette
Voici leurs enfants :
En 1952 c'est le drame, le jeune Robert né en 1942 meurt en chutant dans une cuve d'eau chaude
René Chauffeur de car, épousera Marie-Claude
André épousera Anne
François JALLUT s’unira avec Geneviève FARNOUX
Jean-Pierre sera surnommé PILLON
Denis JALLUT
Marcelle JALLUT
Yvette JALLUT s’unira avec Yves MOURGUES
Marie Françoise s’unira avec Jean-Luc CONVERT
Et Isabelle se mariera avec Jean-Luc PHILIBERT
-Henri JALLUT 8/3/1919-13/12/2004.
Fut prisonnier de Guerre, célibataire endurcit, (surnommé Tonton Rataboul car toujours coupé court et de mauvais poil) il sera assez lié à mes parents. Cuisinier au LEP de La Côte Saint-André, on s’est souvent croisé quand mes parents me mettaient au centre aéré. Il nous parlait de Chèvre Noire, la ferme , le puits…aujourd'hui je comprend mieux pourquoi.
De la famille JALLUT c’est lui que l’on voyait le plus souvent..surement parce qu’il ne s’est jamais marié..
Le journal des prisonniers de guerre de Septembre 1940 mentionne son nom comme prisonnier des allemands.
-Marcel JALLUT de MEYSSIER. Un de ses petit fils est Jérémy GONDRAND célèbre rugbyman de Bourgoin
- Fernand JALLUT s’unira avec Mathilde Ils auront un garçon ROBERT et une fille Marie-Claude
Il me reste quelques souvenirs de Chasse et pêche
Du côté de Badinières avec mon père..Parfois aussi de tirs aux pigeons
-Raymond JALLUT né en 1928
Et Marius n’auront vécus que quelques jours
-Pierre JALLUT se mariera avec Juliette ROSTAING
…. Et auront 2 filles Colette et Marie-Claire ARMAND
Les 6 sœurs de Victorine :
- Rose JALLUT se
mariera avec Louis TOUQUET dont Jacky, Chantal et Geneviève
Jacky Touquet était très aimé de mon père car ils partageaient les mêmes valeurs concernant la Chasse. Je me souvient d’avoir souvent accompagné les deux pour la chasse à la bécasse dans des marais du côté de Badinières.
Jacky était marié à Dany, ils tiendront 2 restaurants dont l’un à Grenoble et ensuite à Champagnier.
Dés 1990 il est devenu taxidermiste avec son ami Edouard.
Mais la maladie l' a frappé et après une rémission de 2 ans il a été emmené par cette terrible maladie...(le 5 avril 1998)
- Marguerite JALLUT 1905-1977 s’est uni avec François JALLUT. De de leur union naitra 3 enfants Henri Germaine et Raymond
Habitant le centre de Gillonnay, Raymond épousera Irène et auront 4 enfants :
Patrick, Nathalie, Véronique et Isabelle
-Jeanne JALLUT épousera Louis RABATEL
La tante Jeanne mettra au monde 3 garçons et une fille :
Fernand, François, Jean-Pierre et Suzanne
-Berthe JALLUT 1911-2006 s’unira avec Louis GLANDUT
ils auront 4 filles
-Adrienne JALLUT se mariera avec Roger CHOLLIER et auront trois enfants
- Marie-Louise JALLUT s’unira avec Lucien FOSCALLO et auront deux filles Michelle et Christine